Sarah Krancenblum

Expertise :  Massothérapeute
Approches : Massages suédois, thérapeutique et sportif
perfectionnement en hydrothérapie
perfectionnement en technique de massage thérapeutique
perfectionnement en évaluation de la posture
mobilisation des articulations, les fonctions musculo-squelettiques
les exercices de correction, la bio-anatomie,
et la physiologie
Association : Fédération québécoise des massothérapeutes (FQM)
Reçu pour assurance : Oui
Bureaux : Piedmont
Téléphone : 514-668-2468
Courriel : [email protected]

Diplômée d’un programme de 2200 heures en 18 mois du Atlantic College of Therapeutic Massage, je suis membre de la Fédération québécoise des massothérapeutes (FQM). Ma formation comprend les massages suédois, thérapeutique et sportif.

Je peux également traiter les clients atteints de pathologies, les femmes enceintes soit pendant leur grossesse ou au cours de leur accouchement, ainsi que les nourrissons.

J’offre aussi du perfectionnement en hydrothérapie, en technique de massage thérapeutique, et en évaluation de la posture. Enfin, la mobilisation des articulations, les fonctions musculo-squelettiques, les exercices de correction, la bio-anatomie, et la physiologie font aussi parties de ma formation.

Questions et réponses à propos de la massothérapie

Comment mes sessions de massothérapie sont-elles structurées? Le coût du massage? Et sera-t-il payé par mon assurance?

  • Une session d’une heure et demie est prévue pour la première visite du client.  Pendant la première demi-heure, gratuite, les tissus et l’état de santé du client sont évalués et un plan de traitement est établi. Un massage de cinquante minutes suit, puis des exercices sont proposés afin de maintenir les mécanismes du corps.
  • A la clinique: $65/h. Un massage aux pierres chaudes $120/hr. À domicile : $120/h. Plus taxes.
  • Oui. Vous n’avez qu’à présenter votre reçu si votre assurance défraie le coût des massages thérapeutiques.

Bienfaits de la massothérapie?

  • La pratique de la massothérapie consiste en l’évaluation des tissus mous, des articulations, et l’intervention sur le corps humain au moyen d’approches manuelles à l’aide des mains, des pieds, des coudes et des genoux.
  • Le but de la massothérapie est de prévenir les mauvaises postures physiques, les douleurs, d’améliorer la santé et de promouvoir l’autonomie physique en faisant des manœuvres qui développeront, maintiendront et réadapteront les articulations et les fonctions musculo-squelettiques.

Les effets de la massothérapie et ​autres raisons pour le massage

  • La massothérapie a des effets physiologiques ainsi que psychologiques.
  • En général, la massothérapie peut éliminer ou réduire la douleur, augmenter la circulation et améliorer la fonction physique quand des états pathologiques sont présents. Par exemples, les massages diminuent les tremblements chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson et favorisent la relaxation chez les personnes souffrant de maladies auto-immunitaires tels que le lupus, le cancer, l’irritation des intestins, la fatigue chronique, la fibromyalgie et la paralysie de Bell.
  • Les massages réduisent les symptômes du système nerveux central, des nerfs radial, médian et ulnaire, du syndrome caroténoïde et des lésions du nerf sciatique.
  • Les massages peuvent diminuer le stress, les migraines, la tension musculaire, la dépression et l’anxiété.
  • Ils haussent l’activité immunitaire et laissent une sensation de bien-être au client.
  • La massothérapie peut aussi compléter les soins esthétiques ou donnés par d’autres professionnels de la santé tels que les médecins, pédiatres, chiropraticiens, physiothérapeutes, ostéopathes, dentistes, naturopathes, neurologistes, psychologues, spécialistes en médecine sportive et thérapeutes en réhabilitation.

Quand la massothérapie est-elle déconseillée?

​La massothérapie est déconseillée lorsque les conditions suivantes existent: varices de l’oesophage, plaie ouverte, thrombose des veines profondes, pneumonie aiguë, éclampsie, hémophilie, accident post-cérébrovasculaire ou infarctus post-myocardique non-stabilisé, artériosclérose prononcée, hypertension instable, fièvre significative, contagion systémique, grippe ou infection.