Ces aliments qui « TROMPENT » la maladie

Ces aliments qui « TROMPENT » la maladie
D’abord et avant tout, si vous voulez que votre corps fonctionne de manière optimale, vous avez besoin d’aliments non transformés et de nutriments naturels. Ce sont des aliments qui « TROMPENT » la maladie. Malheureusement, la plupart des aliments consommés par les gens aujourd’hui ne sont pas des aliments sains, ils sont génétiquement modifiés (GM), saturés de pesticides et de produits chimiques ajoutés et traités de plusieurs façons. Beaucoup de gens sont tellement habitués aux aliments préemballés qu’ils ont du mal à comprendre ce qu’est la nourriture.
Le choix des aliments biologiques, entiers (sans transformation), cultivés sans pesticides synthétiques et sans engrais ou organismes génétiquement modifiés est tout aussi important que d’obtenir une grande variété de nutriments. L’un de mes plus grands conseils pour l’ensemble de mes auditoires et de mes clients est de CESSER DE COMPTER LES CALORIES et commencer à compter les produits chimiques.

L’Art de se détendre

Vous sentez-vous tendu?… Fébrile?… Stressé?… Pressurisé?…
Vos pensées vont-elles dans tous les sens?…
Avez-vous de la difficulté à vous arrêter, à vous reposer, à vous détendre?…

Il est bon de pouvoir retrouver le calme, de pouvoir se détendre, car lorsque le stress s’emballe et qu’il persiste ou qu’il se reproduit fréquemment, il devient plus incrusté à l’intérieur de nous.
Ses effets néfastes s’intensifient et il devient alors plus difficile de retrouver un état de bien-être et de relaxation.

Chacun a donc avantage à retrouver une autonomie dans la détente, à connaître et à utiliser certains moyens qui lui correspondent et qui fonctionnent bien pour lui.
Ce peut être :
– De faire une séance de Yoga
– De méditer
– D’aller prendre une marche en nature
– D’écouter de la musique
– De respirer plus profondément, plus longuement
– L’auto-massage
Une multitude de façons existent pour revenir vers soi et se soustraire du brouhaha extérieur et des sollicitations intérieures.
Reconnaissez-vous ce qui vous permet de recréer la détente?

Comment les plantes médicinales peuvent supporter le cœur!

Un peu d’anatomie

Débutons par un peu d’anatomie pour bien comprendre les fonctions du cœur :
Le cœur est un muscle qui a pour fonction de faire circuler le sang dans l’organisme en agissant comme une pompe par des contractions rythmiques. Le sang est un moyen pour les nutriments, l’oxygène et bien d’autres molécules (ou cellules), d’être véhiculés dans tout l’organisme pour alimenter les cellules et assurer le bon fonctionnement du cerveau, des muscles, ou de tout autre organe.

Le rythme cardiaque est aussi capable de s’adapter aux besoins du corps. Lorsque celui-ci est au repos, le cœur bat 60 à 100 fois par minute (chez les enfants, le rythme est plus rapide que chez l’adulte, et le cœur de la femme bat plus rapidement que le cœur d’un homme). Lorsque le corps est en activité ou soumis à des émotions, le cœur accélère grâce à des stimulations nerveuses ou sous l’action d’hormones (adrénaline). Il est plus qu’une pompe. Il a une grande concentration de neurones. Ces derniers communiquent avec le cerveau et mémorisent toutes sortes d’informations.
Les plantes médicinales peuvent aider, soutenir les fonctions du cœur. Ce sont particulièrement les plantes de la famille botanique des Rosacées qui ont une affinité particulière avec le cœur. En voici une que j’affectionne particulièrement :

Le plus grand remède

Le plus grand remède
Le mois de février est le mois de la St-Valentin, la fête de l’amour.

Saviez-vous que l’amour est le plus grand remède ? Il est là, en nous. Certains le situent au niveau de notre cœur, d’autres, dans chacune de nos cellules, mais peu importe où il est, il n’attend que notre autorisation pour agir. L’amour guérit.
La médecine utilise des remèdes de plus en plus puissants pour contrer les maladies, mais celles-ci sont si complexes. Le seul ingrédient universel qui transforme la cause profonde de la maladie demeure l’amour. En premier l’amour de soi, car c’est en s’aimant suffisamment qu’on devient capable de changer nos modes de vie qui nous rendent malades.